L’hOMME : UNE ESPÈCE (GENRE) À PROTÉGER
L’HOMME : UNE ESPÈCE (GENRE) À PROTÉGER
Introduction
Les accords internationaux sur la protection de la
nature, de l’environnement et surtout de certaines espèces sont intervenus
comme une contrainte pour chaque pays de chaque continent en particulier ceux
en voie de développement. Pour cette raison, chaque ministère en charge de
l’environnement ou de la faune et de la flore a adopté des politiques de
protection de certaines aires et de certaines espèces fauniques. Cependant, ces
politiques ne visent en réalité que des animaux sauvages et ne concernent en
aucun cas la race humaine de l’espèce faunique. Dans cet élan de protection, le
Cameroun a créé un ministère en charge de la promotion de la femme (MINPROF).
Entre autres activités menées par ce ministère figure en grande ligne la lutte
contre les violences faites aux femmes, l’insertion des femmes dans les milieux
socioprofessionnels. Donc, il va sans dire que toutes ces espèces sont
protégées contre l’homme qui apparaît comme l’élément nuisible de la nature.
Néanmoins, vu les statistiques répertoriées sur plusieurs sites internet, on
dénombre environ 8 garçons sur 10 naissances; soit 1 garçon pour sensiblement 2
filles. Aussi, l’homme apparaît comme le genre vulnérable de l’espèce humaine.
C’est dans cette optique qu’il est nécessaire voir impérieux de protéger
l’homme : un genre en extinction.
L’homme est de l’espèce animale en général et du genre
humain en particulier, le sexe le plus vulnérable, le plus lésé et le plus
utilisé dans les métiers à risques et précisément dans le combat contre le
terrorisme dont les cellules et foyers émergent ici et là dans le monde.
De la guerre à la mort
La plupart des exactions terroristes dans le monde sont
perpétrées par les hommes et sur des hommes qui essayent de leur opposer une
résistance.
A l’exception de quelques pays du monde comme les États
unis récemment et la Tunisie, le métier des armes en particulier la défense,
est réservé aux hommes. Dans les camps de concentration et sur les fronts de
guerre pendant les guerres mondiales, la machine hitlérienne avait laissé des
millions d’hommes sans vie ; les femmes et les enfants étant généralement
des civiles et ne contribuant que très peu ou presque pas dans des actions
offensives en période de guerre. D’ailleurs, au
cours de la formation des militaires, des unités d’élite ou des gardes, beaucoup
meurent, certains parviennent à surmonter l’épreuve de la formation mais, n’ont
pas le temps de jouir des prérogatives liées à leur profession vu qu’ils sont
les premières victimes : le général ou le colonel ne pouvant pas combattre
quand ils y a des soldats. Dans ce cas de figure, la mort ne guette que l’homme
et l’autre sexe ne pourra être touché qu’accidentellement. Au sein de l’armée
camerounaise par exemple, il est difficile voir impossible de voir des femmes
dans des contingents ; c’est d’ailleurs le cas à l’extrême nord pour la
lutte contre Boko Haram ou au Nord-ouest et sud-ouest pour la lutte contre les
bandes armées qui réclament l’indépendance de la partie anglophone du pays.
Des stats
Sur un tout autre angle, la plupart de sources indiquent
qu’il y a plus de veuves que de veufs comme le déclare femme actuelle (site
internet) : « il y a six (06) fois de veuves que de
veufs ». Ce déséquilibre est lié tout d’abord aux facteurs énumérés plus
haut en particulier la vulnérabilité de l’homme. Aussi, les statistiques (institut
national de la statistique et des études économiques) montrent que dans les
années 1960, on dénombrait près de 104 hommes pour 100 femmes ; mais
aujourd’hui, cette tendance est inversée et on assiste de plus en plus à la
montée en puissance de la population féminine, surtout dans la tranche d’âge de
21 à 45 ans. C’est ce que révèle aussi index mundi (site
internet), « les ratios de masculinité élevés à la naissance dans certains
pays d'Asie sont maintenant attribués à l'avortement sélectif et à
l'infanticide en raison d'une forte préférence pour les garçons ». On
dirait une mesure « dramatique » de protection du « masculin ».
Par ailleurs, de 30 à 65 ans, il y a 0,95 hommes pour 1 femme.
Un peu de chiffre
De qui précède, on assiste à des conflits de nature à
entraver la santé de l’homme qui parfois finit par mourir précocement par un
arrêt cardiaque dans le dilemme du choix, de l’égoïsme et de l’insatiabilité. Dans
les sociétés traditionnelles africaines, un homme épouse à lui seul en moyenne
10 femmes, lesquelles donnent naissance généralement à plus de filles que de garçons.
Dans ce cas de figure, le pauvre homme qui n’est protégé par personne, se
trouve nez à nez avec tous les problèmes liés au foyer polygamique. Il lui faut
satisfaire toutes ses épouses en répondant aussi à leur caprice de femme ;
une satisfaction qui inclue celle des appétits sexuels. Si selon vetopsy.fr,
près de 200 millions de spermatozoïdes sont produits lors d’un éjaculat, planète
santé à travers une équipe de chercheurs Québécois fait dire qu’un acte
sexuel dure environ 25 minutes et au cours duquel l’homme dépense environ 101
kilos calories (énergie) et la femme, 69. Pour Julie Frappier, J. Levy et leurs
collègues, « l’intensité de l’effort lié à l'activité sexuelle représente
environ 70% de l'intensité d’un exercice d'endurance de 30 minutes, et 38%
de sa dépense énergétique [chez l’homme]. L'activité sexuelle peut être
considérée comme un exercice significatif à la fois plus intense qu’une marche
à 4,8 km/h, mais moins intense qu’un jogging à 8 km/h ».
Du mariage traditionnel africain
A l’inverse, « les hommes devraient faire l'amour au
moins 21 fois par mois », selon les résultats d'une étude publiée dans la
revue médicale de l'American Urologial Association [top santé].
Cependant, cette quantité d’énergie dépensée pour améliorer la santé de la
prostate si elle n’est pas vite compensée devient un danger pour l’organisme et c’est
pour cette raison que l’homme avant l’âge de 58 ans [données de perspective
monde, sur l’espérance de vie au monde] est fragilisé et exposé aux
maladies liées au vieillissement des tissus, des muscles ou du cerveau qui
n’est peut-être pas bien nourri à cause de l’insuffisance en énergie. Par conséquent, le pauvre homme avec autant
d’épouses se voit seconder par d’autres hommes dans cet élan de satisfaction de
ses multiples épouses et de fait, finit dans la plupart des cas par mourir
avant elles.
De la sensualité à la sexualité
D’autre part, l’habillement indécent des jeunes filles et
pire encore de la plupart des femmes mariées d’aujourd’hui « viole »
le regard de l’homme et mettant ainsi le plus sensible hors de lui. Ceux qui ne
se maîtrisent pas prennent ce cadeau empoisonné pour proie et finissent en
prison, tel un rat ou un écureuil des Fables de Montagnes de Kayo, ou
alors par en mourir s’ils ne sont pas dénoncés pour des actes de viol sexuel.
Les gouvernements devraient punir ces femmes pour « viol de regard »
pour sauver ce genre humain en proie à toute sorte de représailles. Que dire de
cette justice injuste qui condamne l’homme sans l’avoir entendu pour peu qu’il
soit suspecté d’acte de « viol » commis via une poitrine généreuse lubrifiée,
remis à la taille 35 et exposée à qui voit, une cuisse attrayante, un fessier à
« matelot » diminué, une fesse même sans le moindre « string »,
ou encore l’ensemble accompagné d’un regard de mouton endormi ? Qu’aura-t-il
fait, l’homme pour être condamné ? N’est-il pas au contraire victime de
cette agression ? La femme devrait être condamnée pour « agression de
l’œil ». C’est de l’œil que l’information est captée et transmise au
centre des émotions.
De l'originel
L’homme mangera à la sueur de son front et la femme
souffrira des douleurs de l’enfantement (Genèse 3, 17-19). … De même que
l'Église est soumise à Christ, les femmes aussi doivent l'être à leurs maris en
toutes choses. Maris, aimez vos femmes, comme Christ a aimé l'Église, et
s'est livré lui-même pour elle… (Éphésien 5, 24-25). De toute évidence l’homme
reste le « commandant de bord ». Néanmoins, le 21è s offre
à la femme une certaine indépendance qui lui permet désormais de s’affirmer en
tant qu’être épanouie et de plus en plus libre de toutes contraintes liées à la
soumission telle que l’évoque Gaston Paul Effa dans son ouvrage intitulé
« Mâ ». Au-delà de cette idéologie indépendantiste qui a donné un goût
indéterminable à plusieurs femmes et créé aujourd’hui de nombreuses
difficultés, c’est l’homme qui demeure la source financière du foyer ; la
femme même avec un salaire parfois au dessus de celui de son époux se contente
de ses appétits vestimentaires, de ses « contraintes »
de beauté ou de ses envies touristiques. Alors, l’homme se trouve contraint de
perdre un peu plus de calories pour
subvenir aux dépenses liées au fonctionnement du foyer. Ce faisant, celui-ci
« finit » parfois soit dans un accident (s’il est au volant de sa
voiture et pour cause, la fatigue et la volonté de satisfaire sa famille, sa
petite famille ou encore sa belle famille.
Conclusion
Au terme de ces observations et de quelques analyses
faites, il est évident que l’homme reste le sexe lésé par le monde, par
l’Afrique et en particulier par le Cameroun. Du front militaire à sa capacité
d’homme africain traditionnel en passant par les autres contraintes liées à sa
masculinité, l’homme est vulnérable, combattu par celle qui devrait être sa
moitié ou encore par d’autres hommes qui désormais protègent les animaux
sauvages et la femme à son détriment, abandonnant celui-ci à lui même et à son
sort comme l’ « orphelin du monde ». Tous les accords entre États,
toutes les conventions signées, des structures crées visent à protéger les
espèces végétale et animale et la femme. L’homme est comme renié par la femme,
l’homme, par lui-même. En tout état de cause, les précédentes constellations de
faits prouvent à suffisance que ce sexe coure le risque d’extinction si rien
n’est fait aujourd’hui pour le protéger. Ceci tient du chute de l’inversement
du ratio hommes/femmes des années 60. Si l’on admet que toutes les femmes sont
faites pour se marier, il est claire que l’homme devra encore chercher à
prendre au moins une femme et au plus deux pour que toute femme soient « épouses » de monsieur
X. C’est en cela que nous suggérons à la communauté internationale et nationale
de mettre sur pied des mesures en même de favoriser la protection et la pérennisation
du genre masculin.
Références
https://www.prostate.fr/prostate-et-sexualite/pathologies/
https://www.topsante.com/couple-et-sexualite/sexualite/desir-plaisir/l-orgasme-reduit-le-risque-de-cancer-de-la-prostate-250861
Sainte Bible, Ancien Testament.
Great work! Courage
ReplyDeleteVery insightful write-up sir
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